AGNES OBEL – Aventine (2013)

Après le sublime Philarmonics, la pianiste Danoise, Agnes Obel, nous transportait pour la seconde fois au sommet de la grâce avec le lumineux Aventine.

 LANA DEL REY – Ultraviolence (2014)

L’extraordinaire Born To Die avait fait chavirer le monde, le sublime Ultraviolence confirmait l’entrée de Lana Del Rey au Panthéon des divas.

SUFJAN STEVENS – Carrie & Lowell (2015)

Au travers des tribulations familiales de son enfance, l’Américain Sufjan Stevens nous entrainait en 2015 dans la beauté harmonique du mélancolique Carrie & Lowell.

BENJAMIN CLEMENTINE – At Least For Now (2015) 

Après quelques singles forts prometteurs, Benjamin Clementine sortait enfin son premier opus At Least For Now. Pianiste et vocaliste de génie, l’anglais faisait une entrée fracassante dans le monde de la folk-music.

NICK CAVE & THE BAD SEEDS – Skeleton Tree (2016)

Après un drame familial destructeur, qui aurait pu penser que Nick Cave pouvait revenir aussi fort ? Le triste Skeleton Tree était tout bonnement l’un de ses meilleurs opus.

ALDOUS HARDING – Party (2017)

Le premier album éponyme d’Aldous Harding laissait entrevoir les espoirs les plus fous, Party confirmera au-delà de toute attente le talent folk extraordinaire de la captivante néo-zélandaise.

CIGARETTES AFTER SEX – Cigarettes After Sex (2017)

Une décennie après sa création, le quatuor texan Cigarettes After Sex sortait enfin son premier essai et exposait au grand jour son approche mélodique de la sensualité.

EMILY JANE WHITE – Immanent Fire (2019)

Le sublime Immanent Fire démontrait, s’il en était encore besoin, que le feu intérieur qui alimentait le moteur harmonique de l’Américaine Emily Jane White ne semblait pas près de s’éteindre.

LAEL NEALE – Acquainted With Night (2021)

Les mortels ont dû s’incliner, le porte-étendard des instances divines, Lael Neale, frappait un grand coup. Les arpèges délicats du chef-d’œuvre Acquainted With Night étaient aptes à reconquérir l’oreille de moult ouailles égarées.

LYKKE LI – Eyeye (2022) 

Dans la lenteur et le dénuement harmonique du somptueux Eyeye, la Suédoise Lykke Li prouvait que les chefs-d’œuvre ne se nourrissent pas forcément d’exubérance instrumentale.