A propos de papasfritas69
Avatar :
L’avatar est une copie de la pochette du troisième et dernier album du trio Américain Papas Fritas, Buildings and grounds (voir la critique ici).
De qui parle-t-on ? :
Homme Français, domicilié dans la région Lyonnaise, plutôt âgé, enfin suffisamment pour avoir connu les Beatles avant leur séparation…
Pourquoi papasfritas69 ? :
Tout d’abord, car j’ai beaucoup apprécié le groupe Américain. Même s’ils n’ont jamais sorti de chef-d’œuvre, les originaires de Somerville ont produit trois albums de qualité égale et ont symbolisé, par leur attitude, l’esprit de la musique indépendante.
De plus, le nom Papas Fritas m’a toujours beaucoup amusé.
Et le 69, alors ? Le 69, parce que le papasfritas seul était déjà utilisé et plutôt que prendre 2, 3, 4 ou plus, j’ai accolé, comme le faisait dans la « préhistoire » les cibistes, mon numéro de département, en l’occurrence le 69 pour le Rhône.
Pourquoi la critique selon moi ? :
Nom pompeux, s’il en est, ce choix à plusieurs explications.
La première, lorsque l'on a décidé de créer un blog, l'on imagine à peu près tout, la présentation, la forme des messages, le texte d’introduction, enfin tout ce que l’on a rêvé de voir avant la mise en ligne. Vient enfin le temps de l’inscription chez l’hébergeur et d’emblée on vous demande un titre, qui sera définitif et, évidemment, c’est le seul point que vous avez oublié de travailler. Alors vous essayez dans l’urgence tout un tas d’intitulés et, bien sûr, ils sont déjà pris et pour ne pas perdre trop de temps vous prenez une référence, dans ce cas littéraire, que tout le monde ne connaît pas forcément.
Comme mes critiques sont, modestement, différentes de celles des autres, j'ai pensé, à tort ou à raison, que ce nom était plutôt bien adapté à la forme nouvelle de mes commentaires.
Dernier point, La critique selon moi comme Le monde selon Garp, l’excellent roman de l’Américain John Irving. Livre que j’ai adoré et que je conseille vivement à tout le monde. Le film adapté du roman, avec Robin Williams dans le rôle de Garp, restitue très mal l’intensité et l’ambiance de l’histoire racontée par John Irving.