FILTHY BOY – Smile that won’t go down (2013)
De qui parle-t-on ? :
Quatuor Anglais composé de Paraic Morrissey, Harry Weskin, Michael Morrissey et Benjamin Deschamps.
De quoi parle-t-on ? :
Pop-rock classieuse avec un son légèrement Garage, située entre le premier album des Cold war kids et les Walkmen au meilleur de leur forme.
Rythme :
- Je me suis endormi dans mon fauteuil
- Ne me perturbe pas quand je lis en même temps
- Mes pieds se mettent à bouger
- Je me lève et je fais la danse de l’épaule
- Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce
Rock assez enlevé, notamment sur In the name of ou Waiting on the doorstep, qui permet facilement de battre la mesure.
Accessibilité :
- Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie
- Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie
- Mélodie agréable mais sans aspérité
- Les refrains entrent directement dans ma tête
- Que des hits taillés pour les stades
Ensemble assez sophistiqué mais avec pas mal de Hits potentiels.
Audience :
- Musique que madame me demande de réécouter
- Peut-être écouté en famille sans déranger madame
- Madame s’en va quand je l’écoute
- Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter
- Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus
Facilement audible par le plus grand nombre mais, malheureusement, dans la plus totale indifférence.
Qualité audiophile :
- J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album
- Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute
- S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)
Musique qui parait assez standard au début mais dont on remarque la complexité à force d’écoute.
Conclusion :
- Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop
- Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire
- Je l’écoute facilement mais sans émotion
- J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter
- Il tourne en boucle sur ma platine
Comme son titre l’indique, on ne peut s’empêcher de conserver un sourire radieux tout au long de l’écoute de cet album. Malgré les propos les plus sombres chantés merveilleusement par la voix chaude de Paraic Morrissey, cette musique « joyeuse » et racée rappelle les plus grandes heures du rock indépendant venu d’outre Manche. Les singles Waiting on the doorstep et Charm of the dangerous minx devraient permettre au groupe d’atteindre une notoriété qu’il mérite amplement.