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La Critique Selon Moi
1 mai 2020

Petite Playlist Du Confinement – Vol. 8

Nice confinéAvant de savoir si notre département sera vert ou rouge et si le déconfinement sera donc contraint ou très contraint, intéressons-nous aujourd’hui aux six premiers mois de l’année 2016, riches eux aussi de très beaux moments musicaux. 

 

Commençons avec les inamovibles londoniens de Suede qui sortaient alors leur honnête septième album, Night Thoughts. Comme depuis l’origine du combo en 1989, le chant si particulier de Brett Anderson rayonnait sur le single Outsiders.

 

Les membres du Camp Claude et leur plaisante directrice, Diane Sagnier, présentaient cette année-là leur nouveau programme de festivités basées sur les jeux aquatiques, Swimming Lessons. Le single Don’t Hold Back était l’une des activités phares proposées par le trio d’animateurs franciliens.

 

Le shoegaze mélancolique et lumineux des britanniques de Daughter sur l’album Not To Disappear avait irradié l’année 2016. Le sombre Doing The Right Thing était l’un des sublimes exemples de la grande affliction du combo londonien.

 

Le duo français Part-Time Friends sortait son premier opus, Fingers Crossed, magnifique fleuron du savoir-faire pop hexagonal. Here We Are, single très accrocheur, était alors le moteur dansant de cet exercice originel.

 

Après le « difficile » The King Of Limbs, les britanniques de Radiohead revenaient, avec le sublime A Moon Shaped Pool, à la ligne directe et épurée qui fit autrefois leur gloire. Le bouillant single Burn The Witch, entame de l’album, était le point d’orgue de ce renouveau harmonique.

 

Devenus spécialistes dans l’écriture de bandes originales de films, de séries et de documentaires, les écossais de Mogwai associaient leur musique au reportage de la BBC, Atomic : Living in Dread and Promise. La beauté de l’instrumental Ether, sorte de musique classique des temps modernes, fit alors très forte impression.

 

Le cheval ailé nantais, Pégase, déployait à nouveau ses ailes sur le sublime Another World. L’electropop imparable du single Be Wild, magnifié par le chant de sirène de la divine Ana Benabdelkarim, enflammait alors l’espace sonore.

 

Dans un registre plus rock, les américains de Parquet Courts sortaient alors leur album le plus abouti, Human Performance. Cette revisite en accéléré de l’histoire du rock était portée par le single éponyme Human Performance.

 

Echappé de Revolver, le français Ambroise Willaume, alias Sage, sortait son premier opus en solo. Trésor de pop hexagonale, cet album éponyme débutait avec la synthpop dansante du single One Last Star.

 

Le trio new-yorkais Yeasayer effleurait alors le graal de la perfection sur le chef-d’œuvre Amen & Goodbye. Silly Me, titre au faux rythme assumé et au refrain festif, était le single le plus évident de ce nouvel opus.

 

Sur United Crushers, les américains de Poliça utilisaient alors les codes de l’electropop grand public pour mieux relater les travers les plus noirs de notre société. La voix gracile de la frêle Channy Leaneagh envoutait l’auditeur sur la synthpop du single Lime Habit.

 

Jake Bugg sortait déjà son troisième opus, le langoureux On My One. Sur cet album à très forte tendance folk, l’énergie rock du britannique débordait de tous côtés sur le brûlot au rythme supersonique Gimme The Love.

 

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