VILLAGERS – {Awayland} (2013)
De qui parle-t-on ? :
Projet solo du chanteur Irlandais, Conor O’Brien avec 4 musiciens.
De quoi parle-t-on ? :
Mi folk classique et dépouillé, mi pop expérimentale plus enlevée voire presque tubesque.
Rythme :
- Je me suis endormi dans mon fauteuil
- Ne me perturbe pas quand je lis en même temps
- Mes pieds se mettent à bouger
- Je me lève et je fais la danse de l’épaule
- Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce
Certains morceaux, comme les singles The bell et The waves incitent à bouger.
Accessibilité :
- Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie
- Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie
- Mélodie agréable mais sans aspérité
- Les refrains entrent directement dans ma tête
- Que des hits taillés pour les stades
Le schéma musical est assez complexe sur quelques chansons.
Audience :
- Musique que madame me demande de réécouter
- Peut-être écouté en famille sans déranger madame
- Madame s’en va quand je l’écoute
- Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter
- Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus
Le génie a toujours ses détracteurs…
Qualité audiophile :
- J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album
- Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute
- S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)
Les morceaux dépouillés supportent bien le MP3 par contre le reste de l’album est à la recherche de grands espaces.
Conclusion :
- Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop
- Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire
- Je l’écoute facilement mais sans émotion
- J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter
- Il tourne en boucle sur ma platine
Après un excellent premier album, la réalisation du deuxième opus pouvait s’avérer dangereuse et souffrir de la comparaison mais l’exercice est plutôt réussi. Le côté expérimental et la diversification des sons y sont pour quelque chose.