PALMA VIOLETS – 180 (2013)
De qui parle-t-on ? :
Groupe Anglais composé de 4 personnes : Samuel Thomas Fryer, Alexander "Chilli" Jesson, Jeffrey Peter Mayhew et William Martin Doyle.
De quoi parle-t-on ? :
Garage rock assez mélodique avec un chanteur plutôt braillard dans la lignée d’un groupe comme Wu Lyf.
Rythme :
- Je me suis endormi dans mon fauteuil
- Ne me perturbe pas quand je lis en même temps
- Mes pieds se mettent à bouger
- Je me lève et je fais la danse de l’épaule
- Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce
En pogottant en même temps…
Accessibilité :
- Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie
- Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie
- Mélodie agréable mais sans aspérité
- Les refrains entrent directement dans ma tête
- Que des hits taillés pour les stades
Pas mal de tubes potentiels dans cet album.
Audience :
- Musique que madame me demande de réécouter
- Peut-être écouté en famille sans déranger madame
- Madame s’en va quand je l’écoute
- Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter
- Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus
Pas tellement à cause de la musique mais de la voix plutôt « punk » du chanteur.
Qualité audiophile :
- J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album
- Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute
- S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)
Même si, sur certains morceaux, le son saturé des guitares peut générer une « bouillie » sonore.
Conclusion :
- Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop
- Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire
- Je l’écoute facilement mais sans émotion
- J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter
- Il tourne en boucle sur ma platine
Du bon vieux rock un peu crad comme on l’aime, sans originalité mais diablement efficace.