
« Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? » Le début du célèbre monologue de Don Diègue, tiré du Cid de Pierre Corneille, s’adapte à merveille au sentiment amer que diffuse ce nouvel opus de U2.
Difficile d’évoquer aujourd’hui cette légende des années 80 qui a bercé la jeunesse de toute une génération. U2 nous a fait danser, rêver et rendu ivre de bonheur, le tout en réussissant...
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