
Avec l’electropop mainstream d’Euphoric, la londonienne Georgia succombe définitivement aux sirènes du show-business.
L’intérêt des deux premiers opus de la Britannique résidait dans cet équilibre fragile entre indie-pop lumineuse et synthpop grand public. Ce troisième exercice bascule malheureusement totalement du côté de cette dernière. Des boucles dansantes de Some Things You’ll Never Know et du single All night, jusqu’à la langueur d’It’s Euphoric et...
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