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La Critique Selon Moi
24 avril 2020

Petite Playlist Du Confinement – Vol. 7

Lille confinée

 

 

 

 

Avant d’entrer dans l’inconnu et dans l’agitation de l’après confinement, profitons encore de nos derniers jours de calme et écoutons à nouveau les temps forts musicaux du second semestre de l’année 2015. 

 

Après le démentiel Lonerism, les australiens de Tame Impala enfonçaient le clou de leur succès avec le très pop Currents. L’addictif single The Less I Know The Better devint tout simplement un tube planétaire.

 

Comme un écho à la situation actuelle, les français de Feu! Chatterton pointaient du doigt dans le sublime Côte Concorde (pour le tristement célèbre Costa Concordia) le problème posé par le gigantisme des bateaux de croisière, aberration de l’industrie du tourisme de masse et aujourd’hui superaccélérateur de la diffusion du coronavirus. Le titre est issu du premier album et chef-d’œuvre de chanson française du combo parisien, Ici Le Jour (Tout A Enseveli).

 

Le duo américain Ratatat sortait son cinquième et dernier album à ce jour, le bien nommé Magnifique. Le single Cream On Chrome, comme habituellement instrumental, fit alors le bonheur des annonceurs publicitaires.

 

Sous le nom d’EL VY, Matt Berninger des immenses The National et Brent Knopf s’étaient associés le temps d’un album, l’excellent Return To The Moon. Dans une tendance très proche de celle du combo de Cincinnati, le single éponyme Return To The Moon était le parfait étendard de cet unique opus.

 

L’américain Ryan Lott, orfèvre en chef des sons synthétiques loufoques des Son Lux, sortait le quatrième album du combo, le lumineux Bones. Les volutes électriques du baroque et langoureux single Change Is Everything ne laissèrent pas les auditeurs totalement indifférents.

 

Bénis des dieux de l’indie-rock depuis la sortie de leur premier album, les américains de Cage The Elephant sortaient déjà leur quatrième opus, le très mélodique Tell Me I’m Pretty. Parmi la masse de tubes que comptait ce nouvel exercice, la pop de Cold Cold Cold tirait brillamment son épingle du jeu.

 

Spécialiste de l’importation du soleil en terre nordique, les suédois de I’m From Barcelona présentaient leur nouveau produit miracle, Growing Up Is For Trees. Le collectif scandinave transmettait sa joie de vivre au travers du single Violins

 

Après Barcelone, ce fut à Beirut de faire son show sur son quatrième opus, No No No. Toujours emmené par l’américain Zach Condon, le combo rayonnait sur la pop solaire du single No No No.

 

Déjà habitués des tubes imparables, les britanniques de Foals confirmaient cette tendance avec l’énorme single Mountain At My Gates. Titre issu de leur quatrième opus, le stratosphérique What Went Down.

 

Cette année-là, une nouvelle diva du rock au féminin confirmait son immense talent avec son second opus, Sprinter. Le chant puissant de l’américaine Torres rayonnait de mille feux sur l’éponyme single, Sprinter.

 

Après leur chef-d’œuvre initial, Dark Eyes, les canadiens de Half Moon Run confirmaient cette propension pour le grandiose avec leur second opus, Sun Leads Me On. Dans cette fresque pop-rock très inspirée brillait le splendide Turn Your Love.

 

A l’instar des Half Moon Run, les britanniques de Outfit atteignaient aussi les sommets avec le pop-rock divin de leur second opus, Slowness. Le single Smart Thing démontrait une nouvelle fois les aptitudes harmoniques hors normes du combo liverpuldien.   

 

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